Il y a ce bar, nommé « Les Contrats d'assassinats ». Si les gens pensent à une énorme blague en passant devant ce bar, vous vous dites bien que le nom est malgré tout, loin d'être anodin... Le tenancier du bar, ce taciturne ami de l'homme encapuchonné au fond de la salle, ne vous proposera que du whisky ou de genièvre. Au fait, il est bien écrit que la maison ne rend pas la monnaie.

Si la luxure n'était selon vous, pas un pêché capital, la présence de ce bâtiment, "au bonheur de tous", vous lèvera le doute sur la pureté symbolique de l'action. On ne parle vraiment plus de faire d'enfants à ce stade-là. On parle de soulagement d'activités sauvages et primaires. Seul les plus désespérés osent mettre les pieds dans ce genre de bâtiments, dans ce genre de quartiers. Et vous ? Êtes-vous désespérés à ce point ?